La « psychiatrie citoyenne », pour soigner autrement

En bref

Alors que vont se tenir les 27 et 28 septembre prochains les assises de la santé mentale et de la psychiatrie, à l’initiative d’Emmanuel Macron, « La Croix-L’Hebdo » s’est immergé au sein du G21, un pôle de santé mentale des Hauts-de-France où il n’est pas question de « patient » mais d’« usager », et où la maladie se soigne au sein de la cité. Pour ce faire, s’est élaborée au cours des trente dernières années une « psychiatrie citoyenne » reposant notamment sur un maillage solide entre le pôle, les soignants, les municipalités, les partenaires sociaux et les personnes concernées par les soins pour que maladie mentale ne soit pas synonyme d’exclusion.